Nocte ambulamus - In vitae sublimamus - Nostris meritis redderemus
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30 octobre
Au réveil on déplace le camp. On retourne au bordel, la tenancière a reçu la visite des gardes. Nous lui glissons un pot de vin pour qu'elle oublie notre visite. Puis nous nous rendons au monastère, un groupe s'approche avec un chariot qui amène des pierres et des outils. Inigo nous annonce la présence d'une fée au sein du groupe.
Nous avançons, deux moines nous attendent dans un cercle: j'en domine un mais l'autre agrippe avec des bras d'ombre. O que je déteste cette capacité des magisters! Que la peste soit de ces maudits sorciers de l'ombre. A ce moment deux autres sortent des ombres et me chargent. Agrippé par des bras d'ombre, désarmé, je décide de sortir deux dagues et me prépare à subir l'assaut en me concentrant uniquement sur la défense.
J'éprouve les pires difficultés à me libérer des tentacules. Je mets un magister en fuite par le biais de mon regard terrifiant. Nous finissons par remporter la victoire sur nos adversaires, récupérons nos affaires et saccageons leur camp avant de nous replier.
Nous nous rendons ensuite à Segovie rendre visite à Franco Dominguez le tailleur. Il règne une certaine agitation à la commanderie; des hommes s'arment et prennent la direction du monastère: à un moment nous sommes repérés et décidons donc de nous enfuir.
Nous arrivons chez le senor Dominguez un peu plus tard: nous fouillons son bureau et découvrons quelques indices intéressants: la carrière de pierres qui fournit le chantier se trouve dans le village de Simoa à 40 km de Segovie: nous trouvons également des cartes, bons de commandes et un petit coffre, ainsi qu'un autre bon de commande au nom du prince. En partant nous décidons d'incendier ses entrepôts juste pour faire bonne mesure.
Nous tenons une réunion au camp; alors que nous discutons de la suite à donner, un message de Semi arrive de Madrid:
Monçada exige notre présence. Nous décidons de nous attaquer à l'architecte pour accélérer les choses. Nous préparons une embuscade dans une ferme sur la route de Madrid. Afin de réquisitionner leur ferme nous convainquons les occupants de passer une nuit à l'auberge et nous préparons de le piège pour Jean de la Tour: s'ensuivit un combat facile contre l'architecte et ses acolytes. J'en ai profite pour drainer la vitae de Maxime Blois: qu'il est dur de résister à cette sensation enivrante; tout mon être me hurlait que j'étais en harmonie avec ma nature vampirique, heureusement je reste pourvu d'une conscience limitant mes excès.
Puis nous entamons notre voyage vers Madrid qui devrait durer 3 jours, durant lesquels je pratique activement le castillan avec la troupe.