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Journal de Rory Sullivan

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Livre: Le monastère de Ségovie

24 octobre

Par Rory Sullivan le 24 octobre 1205
Livre: Le monastère de Ségovie

On laisse le sénéchal pour commander la troupe en notre absence. Elizabetta me demande de modifier la mémoire d'un calice nommée Clara : elle veut que je lui fasse oublier la séance d'hypnotisme à laquelle elle l'a soumise. Je réécris également les souvenirs d'elle et son amie Judith pour les convaincre qu'elles sont arrivées à Madrid pour y exercer le métier de couturière.

Toujours dans le but de réduire les effectifs et donc les dépenses nous avons annoncé aux dix esclaves trouvés en route qu'ils sont libres et pour qu'ils puissent le prouver nous leur fournissons des certificats d'émancipation.

On envoie quelques vétérans scouter la ville de Madrid pendant notre absence puis nous prenons le départ pour Segovie en compagnie du lieutenant, de Malik, de deux soldats et de six calices.

Rien de particulier à signaler pour les deux premiers jours de voyage.

Étiquettes: Clara, Judith, Malik

27 octobre 1205

Par Rory Sullivan le 27 octobre 1205
Livre: Le monastère de Ségovie

Arrivée à Segovie que l'on contourne, on forme des équipes de deux pour infiltrer la ville. Abel & Simon vont de leur côté; Elizabetha & moi de l'autre. On demande à un fermier où se situe le chantier du monastère, on y trouve une bâtisse qui semble en construction.

Elizabetha commence à s'infiltrer en utilisant son pouvoir lui permettant de se cacher dans les ombres pendant que j'observe de loin; le chantier ne fait que débuter et n'est protégé que par deux gardes. De retour au camp pour faire le point puis nous retournons au chantier et essayons de nous rapprocher discrètement. Elizabetha tente de saboter l'échafaudage. Les deux gardes dorment, reste seulement un d'environ 45 ans, couteau en main. Je le draine et l'assomme; je récupère des outils du chantier. Nous tuons un garde et disposons son corps sur le sol pour faire croire à quelque cérémonie diabolique.

Je trouve un nom inscrit sur un panneau: la compagnadass de la caillass, artisan marbre & matériaux de construction.

Nous retournons au camp, demandons aux deux soldats castillans d'aller se renseigner la journée chez l'artisan en marbre.

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28 octobre

Par Rory Sullivan le 28 octobre 1205
Livre: Le monastère de Ségovie

Au cours de la journée on envoie le lieutenant au chantier pour tenter de repérer l'architecte, il n'y trouve que trois personnes qui discutent, le chantier semble être arrêté, surement suite aux incidents de la nuit passée. Il suit un homme jusqu'à une maison dans le quartier bourgeois.

La nuit venue, les deux soldats nous présentent leur rapport: la place du marché ouvert présente quelques marchands, des aristocrates. Les propriétaires de la compagnie de marbre se sont faits interroger par les gardes. Le lieutenant confirme également la présence de gardes sur le chantier.

On se rend à la maison de l'homme qu'il a suivi à Segovie: foyer de la famille Dominguez, père Franco et son fils Gutz. Jean de la tour, son maître est l'architecte sur le chantier du monastère. On se renseigne également sur les va et vient sur le chantier: 4h30 approvisionnement, 5h arrivée des ouvriers jusqu'à 14h30. Le chantier doit, en théorie s'achever dans huit mois. Les vitraux sont importés d'Italie; ils devraient arriver d'ici trois ou quatre mois; des hommes armés sont prévus pour l'escorte.

On rencontre la goule dominguez à l'auberge: je le domine & il se rappelle d'avoir fait appel à nos services pour protéger le chantier et de nous promettre une avance. Nous avons décider d'agir sous un nom d'emprunt: nous nous faisons donc appeler la troupe des Puînés.

Quand la goule ne revient pas au bout d'une demi-heure nous décidons de nous retirer. Dominguez est un habitué, sa femme n'aimerait certainement pas le savoir, les affaires semblent florissantes.

Elizabetha apprends que j'ai dominé la tenancière pour en apprendre plus sur les petites habitudes de notre ami la goule: il fréquente de façon assidue la tigresse pas avant onze heure dans la soirée. Nous devons revenir le lendemain, nous rentrons au camp pour mettre au point notre stratégie pour la nuit suivante.

Étiquettes: Les Puînés

29 octobre

Par Rory Sullivan le 29 octobre 1205
Livre: Le monastère de Ségovie

Les deux civils restants sont absents à notre réveil vers 21h. Simon utilise un de ses pouvoirs pour convoquer l'un d'eux devant lui. Puis on déplace le camp juste au cas où; Abel part chasser et nous allons à la maison close: on réclame la tigresse & discutons avec elle. Un problème de langage se présente, mais je pratiquerai celui de l'amour avec elle. Il est tentant de donner du plaisir à cette magnifique créature.

Elizabetha prend son apparence pour ensuite se rendre chez le senior Dominguez. Simon se fait passer pour un castillan, Monsera de Villanova. On fait réveiller l'épouse pour lui révéler les indiscrétions de son époux dans un lieu de perdition.

En sortant nous trouvons un des deux calices qui nous attend, il semble me craindre après que je l'ai interrogé sur sa disparition. Il a bien raison le bougre. Ensuite nous allons observer le chantier; nous décidons de l'attaquer le soir même: nous faisons face à trois humanoïdes et deux chiens que nous rendons inopérants. Puis mettons au point une mise en scène d'un des cadavres dans un pentacle, on jette les autres dans le puits. Je vole à nouveau des outils sur le chantier.

En rentrant au camp nous y croisons Inigo Montoya qui vient d'arriver à Segovie en compagnie de 4 soldats en renfort, on fait le point & on double la garde.

Étiquettes: Monsera de Villanova

30 octobre

Par Rory Sullivan le 30 octobre 1205
Livre: Le monastère de Ségovie

Au réveil on déplace le camp. On retourne au bordel, la tenancière a reçu la visite des gardes. Nous lui glissons un pot de vin pour qu'elle oublie notre visite. Puis nous nous rendons au monastère, un groupe s'approche avec un chariot qui amène des pierres et des outils. Inigo nous annonce la présence d'une fée au sein du groupe.

Nous avançons, deux moines nous attendent dans un cercle: j'en domine un mais l'autre agrippe avec des bras d'ombre. O que je déteste cette capacité des magisters! Que la peste soit de ces maudits sorciers de l'ombre. A ce moment deux autres sortent des ombres et me chargent. Agrippé par des bras d'ombre, désarmé, je décide de sortir deux dagues et me prépare à subir l'assaut en me concentrant uniquement sur la défense.

J'éprouve les pires difficultés à me libérer des tentacules. Je mets un magister en fuite par le biais de mon regard terrifiant. Nous finissons par remporter la victoire sur nos adversaires, récupérons nos affaires et saccageons leur camp avant de nous replier.

Nous nous rendons ensuite à Segovie rendre visite à Franco Dominguez le tailleur. Il règne une certaine agitation à la commanderie; des hommes s'arment et prennent la direction du monastère: à un moment nous sommes repérés et décidons donc de nous enfuir.

Nous arrivons chez le senor Dominguez un peu plus tard: nous fouillons son bureau et découvrons quelques indices intéressants: la carrière de pierres qui fournit le chantier se trouve dans le village de Simoa à 40 km de Segovie: nous trouvons également des cartes, bons de commandes et un petit coffre, ainsi qu'un autre bon de commande au nom du prince. En partant nous décidons d'incendier ses entrepôts juste pour faire bonne mesure.

Nous tenons une réunion au camp; alors que nous discutons de la suite à donner, un message de Semi arrive de Madrid:

Monçada exige notre présence. Nous décidons de nous attaquer à l'architecte pour accélérer les choses. Nous préparons une embuscade dans une ferme sur la route de Madrid. Afin de réquisitionner leur ferme nous convainquons les occupants de passer une nuit à l'auberge et nous préparons de le piège pour Jean de la Tour: s'ensuivit un combat facile contre l'architecte et ses acolytes. J'en ai profite pour drainer la vitae de Maxime Blois: qu'il est dur de résister à cette sensation enivrante; tout mon être me hurlait que j'étais en harmonie avec ma nature vampirique, heureusement je reste pourvu d'une conscience limitant mes excès.

Puis nous entamons notre voyage vers Madrid qui devrait durer 3 jours, durant lesquels je pratique activement le castillan avec la troupe.

Étiquettes: combat, lasombra, Franco Dominguez, Archevêque Monçada, Jean de la Tour, Maxime Blois, Apprentissage langue