Cela fait quarante nuits et quarante jours que nous naviguons sur la mer du Milieu. Je n’apprécie guère ces étendues d’eau brûlées par le soleil et qui nous rendent sa chaleur le crépuscule venu. Nous avons laissé nos affaires de Constantinople entre les mains de Giuseppe, Thierry et de quelques serviteurs. De nouvelles opportunités nous attendent en Iberia.
Nous profitons de cette langueur océane pour renouveler le codex précisant les us de notre compagnie aux hommes de troupe, aux nouvelles recrues notamment. Si je me plais à user de persuasion et de ma présence sur l’esprit faible de ces mortels, le jeu ne me passionne guère longtemps. Je trompe donc la monotonie comme je peux.